André Balestrini

C’est en 2014, lors d’un trekking de six jours en solitaire dans le désert marocain, que le projet « État d’urgence » a vu le jour. Il a pris sa forme actuelle en 2018, après la lecture de nombreux documents sur le climat et l’environnement. Profondément bouleversé par les alertes des scientifiques, je me suis presque entièrement consacré, en dehors de mon travail, à cette urgence qu’est le réchauffement climatique et la perte de biodiversité. Ce qui me motive chaque jour, c’est le sens que je donne à ma vie et à mes responsabilités envers mes deux enfants, les jeunes en général et les générations futures. N’étant ni scientifique ni universitaire, je me suis entouré de personnes compétentes pour porter ce projet. Je continue de me documenter et j’éprouve une grande admiration pour l’engagement et le travail des contributeur·trice·s du site « État d’urgence ».

Nous sommes le fruit de ce qui nous a précédé et nous bâtissons ce qui viendra.